Viens t'en donc te rincer le gosier c'est la maison qui offre XD
Dans la série Jakkob vous explique:Leçon n°1: Le nom de famille
+ Oh non non je n'ai aucune ascendance nobiliaire, et encore heureux où tous les cadavres impériaux de la Russie se seraient retournés dans leur caveau ^^
Le nom de Romanov me vient du côté de sa mère qui le tient elle-même de son arrière grand-père Gordieï dont le nom de famille était en fait Аnatoliovitch. C'est à dire que souvent dans les petits village le nom de famille utilisé le plus couramment pour un homme est le prénom de son père attaché au suffixe -ovitch, une vieille pratique de moins en moins usité et pas vraiment efficace pour le recensement ... quoique qui voudrait recenser un village comme Ploko? Bref...
Et c'est le grand -père ( le fils de de Gordieï, ça va tu es encore réveillé?) de ma mère Natasha qui a décidé de rompre avec cette vieille tradition en offrant à la famille un vraie nom de famille qui se transmettrait de génération en génération. Ce bon vieux grand-père avait une imagination débordante et un sens de la logique aussi aiguë que celui d'une moule, il pensait que le nom de Romanov serait peut être un signe de richesse et de grandeur pour la famille ... il aurait mieux fait de lire dans les tripes de porc il aurait plus de chance , une semaine après avoir eut cette brillante idée il a choppé les hémorroïdes et la semaine d'après il est mort écrasé par une charrette ...
Leçon n°2: Le nabot borgne ou la poisse familiale:
+ De mémoire mis à part l'oncle Oleg et sa conjonctivite, personne dans la famille, mis à part une bonne bande de myope, n'a vraisemblablement contracté de maladie de la vue héréditaire.
Quelques mois avant d'arriver à Hollow dream, j'avais déjà constater que mon oeil gauche était un peu irrité et sensible à la lumière, rien de bien méchant. C'est quelques mois après avoir atterri ici, que cette sensibilité et devenue gênante et un peu trop handicapante dans un patelin où on peut se faire charcuter à chaque coin de rue.
De toute façon le problème est réglé maintenant ...
Leçon n°3: Le chiffre de satan
+ Dans un coin aussi paumé que Ploko, il n'y a pas grand chose à faire, alors quand des gamins turbulents décide de créer un peu d'animation ils font avec les moyens du bord. Les dits-moyens se limitant à une charrette et du foin, les mômes décidèrent vite de se limiter à un exercice sain et dépensant: la course. 68 adversaires, 68 victoires consécutives, de Ploko à Yakoutsk c'est le nombre de sprint que le russe a remporté en compétition officiel ou non, après tout un paysan ne va pas plus loin que la campagne.
Et c'est un soir à Yakoutsk après avoir vidé quelques bouteilles de Vodka, que Mikhail et Jakkob ont eu la brillante idée de passer chez un tatoueur ... et tandis que l'un s'est fait tatoué le nom de sa mère sur la fesse droite, l'autre en toute modestie a choisit ce chiffre là sur la joue ...
Leçon n°4: So viril ...
+ Mikhail et Jakkob ont le même, les eux l'avaient dégoté au marché à Yakoutsk, c'était la grande mode chez les gamins de cet âge là, une plaque militaire personalisé et pour pas cher , et puis la vendeuse avait dit qu'avec ça ils feraient tellement virils ....
Rien à voir avec une breloque de gamine!
Leçon n°5: King of the world:
+ Un sprinter, un sprinter hors-pair et modeste en plus de ça ^^
La course l'a toujours passionné, un moyen de se dépenser de rompre avec la banalité des jours qui défilent. Courir vite et toujours plus loin.
Leçon n°6: Paranoïa:
+ Jakkob est légèrement, voir complètement obsédé avec sa taille, le complexe du nain l'ayant tellement traumatisé qu'il est capable de comprendre dans un simple" bonjour, comment ça va?" un "Toujours aussi petit nabot".
Alors avec l'arrivée de l'hiver, au lieu de se pencher sur son comportement plus bestiale il est persuader d'avoir perdu quelques centimètres , c'est la seule chose sur laquelle il se focalise.
S'il prenait le temps d'y réfléchir il remarquerait des changements plus important, comme le fait qu'il se tasse sur lui-même, qu'il fléchit les genoux dans une attitude toujours plus près de l'animal que de l'humain, qu'il se ramasse sur lui-même presque à quatre pattes comme un chien au moindre signe de danger ... ce qui explique peut être l'impression qu'il d'avoir rétrécie...
Mais c'est un nabot paranoïaque, qui au lieu de s'interroger sur son comportement de plus en plus semblable à celui d'un chien sauvage, préfère psychoter sur une éventuelle perte d centimètres. .
Voilà Yoshe-yoshe ...arf non Chahîd, j'espère que j'ai répondu à tes questions, et si tu veux te rincer l'gosier n'hésite pas c'est Mary qui offre!